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  • : Le blog de lydie.k
  • : Le blog de Lydie Karoutchi, enseignante et formatrice BPJEPS . Pour partager mes expériences auprès de différents entraineurs, partager mes voyages équestres et ma formation. A la recherche de la méthode qui me semble la plus juste, et la plus respectueuse du physique et du moral du cheval.
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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 22:25

link : Charte éthique de l'ISES

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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 21:55

 


 

Le docteur Pierre Pradier est un ancien vétérinaire fédéral , à ce titre, il connait bien les dommages qui peuvent être infligés aux chevaux par une mauvaise méthode d"équitation.

Il propose une hyper extension de l'encolure qui est obtenue par l'ancien précepte " action - réaction " lorsqu'on exerce une pression en diagonale vers le haut, le cheval à tendance à réagir en tirant vers le bas. Si on récompense cette réaction en cédant, le cheval apprend très vite à descendre.

L'avantage de cette méthode est de préserver le dos du cheval si le cavalier n'est pas assez " mur " pour envisager de faire descendre son cheval en bas et rond. Comme la cadence est très lente, le cheval n'est pas en déséquilibre. Celà permet également aux cavaliers de sentir le cheval décontracter son dos, se servir de ses épaules. Dans cette attitude le dos est très relaché, on a l'impression que le cheval prend du rebond et se " déguinguande ".

L'inconvénient est que les postérieurs sont trop lents et que du coup lors de la remise à niveau les postérieurs ne sont pas assez " sous la masse " et actifs.On ne peux pas obtenir une fermeture maximale des angles avec la rapidité souhaitée des jarrets.

J'utilise parfois cette attitude un peu comme une thérapie, avec des chevaux qui ont détérioré leurs allures à cause d'un blocage du dos ( au pas et au trot ) , le temps qu'ils comprennent qu'ils peuvent se relaxer et utiliser tous leurs muscles. Par contre, je ne le demande pas par " action- réaction " sur la commissure des lèvres, mais en relachant le dos du cheval pour qu'il laisse " tomber " son encolure. C'est la 1ère phase de l'apprentissage dans le low deep and round. je peux également l'utiliser ponctuellement en fin de séance.

Je demande également à certains de mes élèves de rechercher cette attitude, pour qu'ils prennent conscience de la sensation de dos qui bouge si ils ne sont pas assez confirmés pour appliquer avec le dosage requis le LDR. Pour les élèves à poney par exemple, je leur demande d'alterner attitude de présentation nuque à niveau avec des ruptures de contact pour que le cavalier puisse vérifier qu'il ne porte pas sa monture et attitude basse et étendue pour qu'il vérifie que son poney ou cheval n'est pas figé.

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 21:56

 


 

Comme je suis très curieuse, j'ai cherché à me renseigner sur les avantages et inconvénients de la fameuse " équitation de légèreté " et à voir à quoi elle ressemblait il y a environ 3 ans . Comme de toutes façon toutes les méthodes prônent à peu près la même chose par écrit, utilisent le même langage, il faut absolument VOIR EN MOUVEMENT ce que propose chaque entraineur.

Il est important avant de choisir d'appliquer des conseils, de se renseigner de façon très objective. Qu'a réussi ce cavalier, en tant que cavalier et / ou entraineur ? Comment sont les chevaux qui travaillent selon ses conseils au bout de plusieurs années ? Comment est leur locomotion ? Ont ils des problèmes physiques ? Ai je envie de ressembler à ce cavalier à cheval ou que mon cheval ressemble aux siens ? La méthode est elle agressive pour mon cheval ?

J'ai donc regardé des dizaines de dizaines de vidéos sur cette méthode. Au départ, je ne trouvais pas de vidéos du maitre lui même, donc j'ai pensé que ses élèves qui diffusaient leurs vidéos étaient des cavaliers peu expérimentés qui appliquaient mal les conseils donnés. Puis j'ai trouvé cette année de nombreuses vidéos de Philippe Karl lui même, sur des chevaux de races variées, des espagnols mais aussi des allemands...

Je ne comprends pas que sous pretexte d'équilibre on puisse "ouvrir" le cheval ainsi. Tout le monde est soucieux de l'équilibre, c'est un point clé de toute forme d'équitation. Je n'ai pas non plus pour l'instant rencontré de méthode ou la légèreté et la décontraction n'est pas recherchée. Mais la plupart des méthodes se soucient du placement du dos du cheval. Que dire des vertèbres épineuses du garrot dans cette attitude ? et des jarrets ? Est ce que ce cheval n'est pas contraint à rester au dessus de la main ?

A noter qu'en anglais, " équitation de légèreté " se traduit " high hands " , ça veut tout dire ! ou est la légèreté ? Moi je trouve plus léger le  "low deep and round" tel qu'on me l'a fait pratiquer en Hollande , mains très neutres et posées, pas de mains du tout dès que les jambes doivent agir et dès que le cheval est à la vitesse demandée dans le relachement demandé.

Comme quoi tout est relatif et je ne comprends pas l'acharnement de cet homme, et du coup de très nombreux blogueurs pour s'opposer à une pratique comme le rollkur ( chose que je comprends ) et d'un autre côté cautionner et encourager cette pratique là de " la tête en l'air " .

Tout est une question de médiatisation !

Je respecte les cavaliers qui croient en cette méthode, je pense qu'ils le font en toute bonne foi , et je pense que chacun devrait également respecter ceux qui pensent différemment et se renseigner, chercher, regarder, et chercher encore...

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 16:36

Sur cette vidéo on voit une détente en rollkur. Cette technique appellée aussi hyperflexion n'est utilisée à ma connaissance que par Anky Van Grunsven. Je ne peux pas me permettre de critiquer une cavalière de ce niveau, n'étant pas capable d'amener des chevaux au même niveau qu'elle. Je peux me contenter de dire que si mon oeil s'est habitué au LDR et que pour le pratiquer je n'y vois vraiment aucune sauvagerie, les images d'hyperflexion me dérangent plus et je ne souhaite pas essayer cette technique car j'ai beaucoup plus de risques de l'appliquer d'une mauvaise manière et de durcir mes chevaux, ce qui est l'inverse du résultat recherché .

Je ne comprends pas ce que recherche exactement cette cavalière et mal maitrisé c'est certainement une attitude très dangereuse. Que voit on sur cette vidéo ? on voit un cheval très " fermé " qui travaille en flexions latérales. On ne peut pas évaluer le poids ou la contraction que la cavalière utilise . Le cheval n'a pas des allures détériorées même à la fin lorsqu'il repasse au pas. Si le dos était bloqué, le cheval ne pourrait pas marcher comme ça.

D'autre part, cette cavalière garde ses chevaux assez longtemps au plus haut niveau ( 2003 à 2010 pour Salinero qui a arrêté à 16 ans ) , ça ne me permet donc pas de dire qu'elle abime ses chevaux.

Je pense donc qu' il faut laisser cette spécificité à Anky, qui ne monte d'ailleurs pas tout ces chevaux de la même façon. Je l'ai vue parfois avec Salinero sur une hyperflexion encore plus marquée et choquante, et le même jour elle montait un autre cheval, celui qu'elle prend parfois aux remises des prix, sans rollkur.

Passé tous les arguments anti rollkur qui sont souvent subjectifs et non basés sur des études réelles, la fédération, après avoir commandé diverses expertises a choisi de faire filmer les détentes, ce qui permet au commissaire au paddock d'avoir un recours et de limiter les abus autant dans les attitudes basses que dans les attitudes hautes. Celà fera l'objet d'un prochain chapitre !!!!


 
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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 22:35

Suite à de nombreuses demandes, voici des vidéos illustrant la différence entre LDR er rollkur. C'est une question de fermeture d'angle tête encolure et de durée de la demande.

Dans la 1ère vidéo, la cavalière présente un cheval à la vente. Le cheval n'est pas prêt à être présenté longtemps " à niveau " et la cavalière le montre rapidement à niveau au galop, puis elle préfère privilégier ses allures naturelles et le fonctionnement de son dos en lui demandant de " déplier " son garrot. Celà aboutit à cette attitude choquante pour certains d'entre nous, car elle ne correspond pas à ce que nous avons appris. effectivement, le chanfrein étant en arrière de la verticale, on pourrait dire que le cheval est " encapuchonné " mais le cheval se met dans cette attitude par étirement de son garrot et non pas par effondrement du garrot et raccourcissement de l'encolure. C'est une des attitudes possibles en LDR et ce n'est plus un tabou pour de très nombreux cavaliers.

Posez votre main à plat derrière votre cou de manière à sentir la dernière vertèbre du cou et la 1ère du dos. C'est l'endroit ou vous avez une bosse. Cet endroit est une zone particulièrement fragile de votre anatomie.La C7 est une vertèbre charnière entre le cou et le dos et possède une apophyse épineuse très longue et inclinée vers l'arrière. La D1 est la 1ère vertèbre dorsale et possède une très longue apophyse épineuse inclinée légèrement vers l'avant. Si vous voulez éloigner ces apophyses l'une de l'autre et faire " monter " la C7 sous vos doigts, la façon la plus évidente est de rentrer le menton.

C'est un peu le même principe pour le cheval qui a des apophyses encore plus marquées que nous au niveau du garrot, partie fragile sur laquelle nous mettons  du poids qui agit physiquement à l'inverse de ce que l'on veut obtenir !

Regardez la locomotion de ce cheval et le fonctionnement de son dos. On ne peut pas dire que cette cavalière " coince " le dos du cheval, il ne pourrait pas exprimer ses allures de la sorte. On voit également que sa bouche est décontractée, et qu'il n'y a pas de problèmes de rectitude. Regardez également le pas, à la fin, remarquable par sa décontraction et son fonctionnement.

demain, la suite...
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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 18:42

Academy-Bartels 0083

Academy-Bartels 0068

Je reviens d'un stage en Hollande, chez la famille Bartels ...

C'est la troisième fois que j'y vais. J'y suis allé la première fois par ignorance. Il fallait que je comprenne pourquoi et comment leur niveau a pu devenir une telle menace en si peu de temps pour les allemands. Il fallait que je vois sur place si le système d'entrainement des chevaux était aussi néfaste qu'on le dis parfois en France. Il fallait que je comprenne quel dosage , quelles tensions, quelle force ils utilisent pour obtenir des chevaux si spectaculaires dans leurs actions.

Est ce qu'on peut obtenir un cheval qui bouge vraiment de façon optimum par rapport à ses capacités physiques sans monter en force ? Est ce qu'on peut monter un cheval bas et rond sans contractions ni physiques ni morales ????

J'utilisais déjà depuis quelques mois le travail en attitude " low deep and round " ( à ne pas confondre avec le rollkur ! ) . J'avais senti combien celà m'ouvrait de possibilités. J'avais senti comment les chevaux semblent se sentir sécurisés dans cette attitude, et relachent le moindre muscle de leur dos.J'avais senti les épaules qui se libèrent, le garrot qui se dénoue, et comment on pouvait obtenir des allures expressives lorsqu'on remet le cheval à niveau en ayant préparé le dos de cette sorte.

Mais je manque terriblement d'assurance. Je ne suis jamais sûre que ce que je fais est bon pour le cheval et dans le bon sens pour la technique. Il me faut sans arrêt me former, chercher les réponses à mes questionnements de plus en plus nombreux. Donc je suis partie en Hollande pour déterminer si je voulais avancer dans cette voie. Si elle était compatible avec mon amour et mon respect pour les chevaux.

J'y ai trouvé une famille de passionnés, terriblement loin des idées préconçues.

Une famille de passionnés dont la vie est totalement dévouée au cheval et au sport.

Des gens en réflexion permanente sur les divers aspects de leur discipline.

Il est impressionnant de voir avec quelle simplicité ils se mettent à la portée de chaque cavalier. Avec quelle passion et conviction ils cherchent à répondre à la plus simple et la plus bête de mes questions. On ne sens jamais d'impatience, d'agacement, ou d'attitude de supériorité.

Pourtant les Bartels, la mère Tineke et la fille Imke, c'est l'expérience de 6 jeux olympiques dont 3 médailles d'argent, sans compter les jeux équestres mondiaux ( médaille d'or , médaille d'argent ) , 7 championnats d'Europe, 10 finales coupes du monde...et des élèves dans tous les coins du monde... c'est aussi Joep, le père, docteur en psychologie, créateur de la coupe du monde de dressage, père des reprises libres en musique...

Dans la fantastique bibliothèque équestre de l'académie qui regroupe des livres de toutes les langues et de toutes les époques, il y a quelques raretés sous vitrine, des livres anciens du 16ème ou 17ème siècle . Un de ces livres anciens comporte une préface ou il est écrit en vieux français que les cavaliers communs pensent qu'ils ont accumulé tant de savoir sur le cheval qu'il n'y aura plus jamais rien à découvrir ou à améliorer et que le vrai écuyer est effrayé par l'immensité de ce qu'il ne connait pas encore...

C'est un peu ça l'état d'esprit de ces hollandais. Ils connaissent parfaitement les écrits anciens, les techniques traditionnelles, ils en reconnaissent totalement le bien fondé, ils disent qu'il ne s'agit pas de réinventer des choses nouvelles à chaque génération, mais bien de suivre les progrès qui peuvent être réalisés dans chaque domaine.

Cette ouverture d'esprit les pousse à chercher dans divers domaines  .

 -  Les connaissances physiques sur le cheval : Connaissance très pointue de toutes les     études scientifiques réalisées, forums avec les spécialistes mondiaux de chaque domaine...

 - Les connaissances psychologiques sur le cheval : Très fort interêt pour tout le courant lié à l'équitation éthologique, échanges avec les gens du spectacle,( comme JF Pignon qui y est resté 10 jours l'automne dernier ), recherches sur le système d'apprentissage du cheval, parallèles avec des dresseurs d'autres espèces comme l'éléphant...

- Les connaissances physiques sur le cavalier : études biomécaniques, étude de la position et des tensions subies par le cheval, échanges avec les autres sports pour profiter de leur recherche...

 - Les connaissances psychologiques sur le cavalier : recherches en coaching mental incluant l'interférence de l'état psychologique du cavalier sur le cheval et celle de l'état psychologique du cheval sur son cavalier, échanges avec les autres sports pour vérifier ce qui pourrait être transposable à l'équitation...

Chez les Bartels on apprend à monter avec conscience. Conscience du bien être du cheval. Conscience de ce que l'on demande pour que ce soit clair pour le cheval. Conscience de la plus petite de ses actions pour ne pas avoir une action de main plus forte que nécéssaire, ou une action de jambes plus agressive qu"elle ne devrait. Conscience qu'il ne faut rien faire sans y avoir réfléchi, et que le plus possible, il ne faut rien faire...

" Still " est le mot que j'ai le plus entendu la semaine dernière.  "Sans mains si tu utilise tes jambes. Tranquille dans tes jambes, essaye avec la plus petite pression, attend d'être sûre que le cheval t'a comprise, répète gentiment, chaque action la plus petite soit elle doit être suivie d'une réaction de ton cheval, still, sans les mains, sans les mains, sans les mains, attend, ne fait rien, regarde comment le cheval réagit...

Les Bartels aiment leurs chevaux et demandent aux stagiaires d'aimer et de respecter les leurs, psychologiquement et physiquement. J'ai moins l'impression de contraindre mes chevaux maintenant qu'il y a quelques années. Pourtant je suis plus efficace et mes chevaux se déplacent mieux.Tout est question de dosage, d'intensité consciente, d'une conscience aiguisée du moment ou il faut céder.

Il y a des bons et des mauvais cavaliers dans chaque méthode, dans chaque école, dans chaque époque et dans chaque pays...






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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 21:06

 

Cette vidéo montre Don Fire au pas rênes longues en début de séance. Au début comme à la fin de la séance, je marche au pas une dizaine de minutes. J'en profite pour vérifier que mon cheval est perméable au bas de mon corps.
Il doit rester entre mes jambes, comme encadré dans un couloir. Je m'amuse à tourner devant ou derrière les objets ( plots, chandeliers ) qui sont dans le manège sans me servir de mes mains .
Si le manège ou la carrière est vide, je me fixe des tracés précis.
Je tourne en m'orientant petit à petit dans la direction ou je veux aller et le cheval suit cette indication,car il suit mon bassin, un peu comme si la selle était " soudée " à mon corps. Si besoin est, je renforce ma jambe extérieure qui est alors à la sangle pour l'aider à tourner ses épaules, la jambe cède dès qu'il revient entre mes jambes. S'il tourne trop court au contraire, il va rencontrer ma jambe intérieure.
Au début, s'il ne comprends pas et accélère ou part au trot, je le freine un peu, le remets à la vitesse choisie, et cède à nouveau dès qu'il commence à tourner.
Tous les chevaux comprennent alors très vite qu'il est confortable de rester entre les jambes et que s'ils restent entre les deux elles n'exercent pas de pression.
C'est un exercice qui les rends concentrés et perméables aux aides.

Lydie Karoutchi


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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 20:49

 


 

Ce couple mythique a marqué l'histoire du dressage.

Tout le monde a admiré alors l' élasticité, le rebond, la légèreté de Rembrandt. Ce couple fait toujours rêver.

Pourtant, Nicole Uphoff a été la première cavalière de dressage à être critiquée par un magazine allemand pour son usage de la méthode " low deep and round " dans le travail de fond de Rembrandt, méthode déjà utilisée depuis 1970 par des cavaliers d'obstacle.

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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 20:47

 

 

Beaucoup de choses ont changé depuis 1932. Ce cheval est un peu moins haut et franchit plus son mors tout en restant léger. Les mains du cavalier sont bien devant lui.

Le trot commence à être expressif .

La propulsion des postérieurs apparait dans certains mouvements mais n'est pas encore une priorité sur toutes les figures ( pirouette au pas, trot rassemblé ) .

On voit plus d'incurvation dans les appuyers mais l'équilibre latéral n'est pas encore maitrisé.

 

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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 19:51

Sur cette vidéo un peu plus longue, montrant du travail au galop et au pas, on a un condensé des points clés chers à Patrick : " aller avec " le cheval, jamais contre, garder un contact constant mais léger, ne pas laisser les chevaux se sauver vers l'avant mais ne pas les porter...

 

Stage de février 2009 - Wolkenschatz et Lydie K.

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